Nos gnomes feutrés à l’aiguille
Tous ceux qui se sont déjà procurés un de nos gnomes feutrés à l’aiguille ont sans aucun doute entendu Jason leurs dire que ces petites créatures sont des êtres protecteur de leur environnement. Voici donc l’histoire des gnomes de St-Stan…
Les gnomes de St-Stan
Les gnomes de Saint-Stan étaient un groupe d’êtres très unis qui vivaient parmi les arbres et les rochers de leur environnement. Ils chérissaient leur environnement naturel et travaillaient dur pour le protéger. Pendant des siècles, ils ont réussi à garder la terre intacte et à l’abri de la destruction.
Peu de gens ont eu la chance de les rencontrer en personne, mais ceux qui l’ont fait ont toujours parlé en bien de leur esprit et de leur charme. Ils étaient curieux, toujours en train d’explorer de nouvelles choses et de tester les limites de leur monde.
Un jour, un groupe de randonneurs est tombé sur la maison des gnomes. Les randonneurs sont impressionnés par la vue de ces petites créatures qui gambadent dans la forêt. L’une des promeneuses décida de s’approcher d’eux, la curiosité prenant le dessus.
En s’approchant, elle a pu constater qu’elles ne ressemblaient à aucune autre créature qu’elle avait vue auparavant. Ils étaient petits, mais leurs yeux brillaient d’intelligence et de malice. Elle s’est assise sur un rocher à proximité et a attendu que l’un d’eux vienne lui parler.
Après quelques minutes, l’un des gnomes s’approcha prudemment d’elle. Il la regarda avec curiosité avant de lui demander ce qu’elle faisait là. La randonneuse s’est présentée et a expliqué qu’elle ne faisait que passer en rentrant du travail. Elle a demandé si elle pouvait rester un moment pour les regarder jouer. Le gnome réfléchit un moment avant d’accepter qu’elle reste.
Elle les regarda courir partout, jouer à la tague et grimper aux arbres sans effort. Il était clair qu’ils trouvaient beaucoup de joie à être simplement en vie, entourés par la beauté de la nature. En les regardant s’ébattre, quelque chose en elle a basculé définitivement ; elle a su alors qu’elle ne pourrait plus jamais regarder la nature de la même manière. »
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